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Trois Aplemontaises à l'AfroBasket 2019

Elles sont parties à deux disputer les éliminatoires de la Coupe d'Afrique 2019, elles reviennent à trois qualifiées. Baleta Mukoko (Cameroun), Fanta Soumah (Guinée) et la néo Aplemontaise Aïcha Mara (Guinée) se retrouveront en août vraisemblablement au Nigeria dans les phases finales de cette version 2019 de l'AfroBasket Féminin. Quand ? Les dates fluctuent entre la mi-août et la première quinzaine de ce mois de reprise des entraînements en France.

A 27 ans, Baleta a donc connu sa première sélection, un oubli incompréhensible tant sa participation a été remarquée. « J'ai beaucoup joué, j'étais meneuse titulaire et ça m'a fait du bien même si je préfère d'ordinaire le poste 2, rappelle-t-elle. J'ai été super bien accueillie et intégrée, tout le monde m'a mis à l'aise et avec la bonne entente, je n'ai eu aucun soucis. » Une intégration d'autant plus facile qu'elle y a retrouvé Marie-Ange Mfoula (ALA 2016-2017).

A Yaoundé, les Lionnes ont décroché deux victoires contre le Congo qu'elles ont d'abord écrasé 90-46 avant de se faire peur en étant maladroites dans le second match face à une défense très agressive (70-66). « Je vais souffler physiquement en juin mais pas professionnellement, confie Baleta Mukoko qui travaille dans l'immobilier. Pas de vacances pour moi cette année car la préparation avec le Cameroun est prévue en juillet en Turquie, ensuite il y aura l'Afro et dès mon retour, la reprise avec Aplemont. »

La Guinée renversée

Pour sa deuxième sélection avec la Guinée, Fanta Soumah (22 ans) a beaucoup souffert au Cap-Vert.

Si elle a remporté le premier match 50-48, le second fut une véritable bataille rangée. « C'était très sauvage, très agressif, à tel point qu'à la fin je n'osais plus attaquer, je me contentais de faire des passes ça devenait vraiment dangereux », se souvient celle qui a joué une moyenne de 25' par rencontre en poste 1 ou 2. Emoussée elle est revenue, fourbue par la dureté du jeu mais aussi par le décalage horaire qu'elle a eu du mal à absorber. « Et physiquement ça risque aussi d'être chaud au retour de la phase finale, mais on verra bien. »

Des douleurs rendues plus soutenables par la présence de sa grande amie Aïcha Mara.

Voilà Aïcha déjà intégrée à Aplemont sans même avoir commencé les entraînements.


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